

[Englis]I'm lying on the bed. Relaxed. Cucky is naked beside..
Added 2025-05-17 17:00:41 +0000 UTC[Englis]
I'm lying on the bed. Relaxed. Cucky is naked beside me. Caged, obviously. Right where he belongs. I don’t say a word. I just look at him. Then slowly, I raise my leg… Smack. A little tap with my heel right between his legs. Not hard. Just enough to make him flinch. Just enough to remind him he doesn’t get a say. That he’s here for this. I do it again. Once. Twice. He doesn’t move. He knows — this is my moment. And his discomfort… amuses me. Each little hit is a reminder of who I am. And more importantly, who he is. A toy. A silent presence. A perfectly locked little cage. And me? I smile, stretch… and keep playing. Then I let my heel rest between his legs. I look at him, smiling softly.
— “I’m wiping my feet.”
I rub the sole slowly, deliberately, across his caged balls. Like a doormat. A casual movement, almost absent-minded. As if he’s not even a body. Just something beneath me. He grits his teeth. Says nothing. Stays perfectly still. He knows if he moves an inch, it’ll be worse. Or over. And I take my time. I let it linger. Because I love watching him like this: tense, ashamed, humiliated. And quiet. I finish, lower my foot. And exhale softly, like I’ve done something tiring.
— “There. Clean.”
Then I ignore him. Pick up my phone. Move on. He stays right there. Used, dismissed — exactly where he belongs.
[Français]
Je suis allongée sur le lit. Détendue. Cucky est nu, à côté. En cage, évidemment. À sa place. Je ne dis rien. Je le regarde. Puis, lentement, je lève ma jambe… Clac. Un petit coup de talon entre ses jambes. Pas fort. Juste assez pour lui faire froncer les sourcils. Juste assez pour lui rappeler qu’il n’a rien à dire. Qu’il est là pour ça. Je recommence. Une fois. Deux fois. Il ne bronche pas. Il sait que c’est mon moment. Et que son inconfort… me divertit. Chaque petit coup est une façon de lui rappeler qui je suis. Et surtout, qui il est. Un jouet. Une présence silencieuse. Une cage bien fermée. Et moi ? Je souris, je m’étire… et je continue à jouer. Puis je laisse mon talon reposer entre ses jambes. Je le fixe, un petit sourire aux lèvres.
— « Je m’essuie les pieds. »
Je frotte la semelle lentement, méthodiquement, contre ses boules enfermées. Comme sur un paillasson. Un mouvement banal, presque distrait. Comme s’il n’était même pas un corps, juste un support. Il serre les dents. Il ne dit rien. Il reste là, immobile. Il sait que s’il bouge d’un millimètre, ce sera pire. Ou terminé. Et moi, je prends mon temps. Je fais durer. Parce que j’aime le regarder pendant ces moments-là : tendu, honteux, humilié. Et silencieux. Je termine, repose mon pied. Et je souffle doucement, comme après un effort.
— « Voilà. Propre. »
Puis je l’ignore. Je prends mon téléphone. Je passe à autre chose. Lui reste là, utilisé, nié, et exactement à sa place.